 L'environnement contient de nombreux ennemis naturels des mouches : des prédateurs qui vont les dévorer, comme les fourmis et les araignées, ou des parasitoïdes, petites guêpes qui traquent spécifiquement les larves de ces mouches pour pondre à l'intérieur et les détruire. Ils sont un éléments capital de régulation naturelle mais sont malheureusement les premières victimes des épandages. Favoriser ces insectes "utiles", ou auxiliaires, c'est faire de la lutte biologique de conservation : Gamour privilégie les auxiliaires locaux plutôt que d'introduire de nouvelles espèces dans l'écosystème. L'application des précédentes méthodes réduit fortement l'utilisation de pesticides et constitue donc un geste essentiel de restauration des équilibres écobiologiques. 
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